Avant j'écrivais. Pour tout, pour rien. J'avais la sensation qu'écrire pouvait me libérer de tout, que cette inspiration était sans limites.
Et d'un seul coup, le vide, la page blanche. Plus rien. Je me suis souvent demandé pourquoi durant un an l'écriture n'a pas été aussi nécessaire. Et aujourd'hui, je crois que j'avais trouvé un autre échappatoire. Ses bras. Nos discussions à n'en plus finir. Plus besoin d'écrire pour soi, ou pour les autres, puisqu'il était là. Cette sensation d'être seuls au monde, de n'avoir besoin de rien d'autre.
Aujourd'hui, je ne sais pas si c'est le gout d'écrire que je retrouve. Je crois que c'est un manque. Le manque de ces confidences que l'on fait sans se poser de questions, vous savez ces petites choses de la vie. A qui vous racontez vos rêves vous ? Le manque de liberté, cette sensation d'étouffer. J'étouffe dans ma propre tête. Les vrais moments d'évasion, c'est dans les soirées que je finis par les trouver. Quand on ne se rend plus compte de rien, et que nos actes ne comptent pas, puisqu'on ne se souviendra de rien de tout ça au réveil.
Et puis je veux partir. Je veux sentir le sable chaud sous mes pieds, pouvoir marcher, en sentant l'eau se glisser sous nos pas, à regarder le soleil se coucher. Partir, et enterrer tous ses souvenirs dans le sable. Prendre un nouveau départ là bas aussi. Sourire, et rencontrer des gens qui ne savent rien de tout ça, qui ne savent rien de moi. J'ai envie d'évasion.
Chanson du soir
Et d'un seul coup, le vide, la page blanche. Plus rien. Je me suis souvent demandé pourquoi durant un an l'écriture n'a pas été aussi nécessaire. Et aujourd'hui, je crois que j'avais trouvé un autre échappatoire. Ses bras. Nos discussions à n'en plus finir. Plus besoin d'écrire pour soi, ou pour les autres, puisqu'il était là. Cette sensation d'être seuls au monde, de n'avoir besoin de rien d'autre.
Aujourd'hui, je ne sais pas si c'est le gout d'écrire que je retrouve. Je crois que c'est un manque. Le manque de ces confidences que l'on fait sans se poser de questions, vous savez ces petites choses de la vie. A qui vous racontez vos rêves vous ? Le manque de liberté, cette sensation d'étouffer. J'étouffe dans ma propre tête. Les vrais moments d'évasion, c'est dans les soirées que je finis par les trouver. Quand on ne se rend plus compte de rien, et que nos actes ne comptent pas, puisqu'on ne se souviendra de rien de tout ça au réveil.
Et puis je veux partir. Je veux sentir le sable chaud sous mes pieds, pouvoir marcher, en sentant l'eau se glisser sous nos pas, à regarder le soleil se coucher. Partir, et enterrer tous ses souvenirs dans le sable. Prendre un nouveau départ là bas aussi. Sourire, et rencontrer des gens qui ne savent rien de tout ça, qui ne savent rien de moi. J'ai envie d'évasion.
Chanson du soir
"Because when a heart breaks, no it don't break even."